Les vacances naturistes gays dérapent
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Y en a vraiment marre de traîner la queue basse dans le hall de mon immeuble et Icham avec sa tête des mauvais jours ne me donne pas l’envie de m’encroûter avec lui dans pareil endroit.
Je prends ma tire, allume le contact et m’en vais draguer à la lisière du bois de Boubou.
Encore un peu tôt pour tirer ma crampe tranquillement derrière un buisson sans être vu par les minots avec leur vieux, alors tranquillement je marche dans les allées de ce bois qui la nuit tombée laisse transpirer le meilleur ou l’inavouable de nos contemporains.
J’massied comme à mon habitude sur la souche d’un arbre et commence à me rouler un beuz de chez beuz, pas du genre de celui qui met stone la première tapiole qui traîne ; Non plutôt celui qui permet d’ouvrir son esprit à de nouvelles découvertes.
En pleine élaboration de mon tube à cancer, un jeune lascar sorti de nulle part croise mon regard et immédiatement une étincelle me permet de croire à un proche avenir des plus jouissif. Je l’invite à s’asseoir pour commencer par tirer sur le bédo.
La nuit commence à envelopper les arbres dans une obscurité qui illumine mes envies. Doucement j’amène ma proie dans des délires verbaux qui m’autorisent à croire beaucoup de choses possibles.
La fumée envahit mes poumons et mon cortex ne tarde pas lui non plus à gonfler d’idées plus ou moins salaces. Je le regarde là devant moi, prêt à se pencher sur mon entre jambes. Déjà ses yeux brillent d’une intensité toute vicieuse. J’commence à me toucher le zboub l’air de lui faire comprendre mes attentes.
Ni une ni deux sa tête se rapproche de mon survet et ses lèvres frôlent les trois bandes qui ornent mon entre jambe. Sa langue joue à découvrir mon début de braquemart. Je lui offre le cul du joint pour qu’il aspire à plus de vices et que ses yeux servent mes envies.
De petits râles de contentement envahissent le silence des allées du bois ; Doucement je baisse le dernier rempart qui lui interdit l’accès au plaisir suprême. Mon gland grossit dans sa bouche sous les lapements répétés de sa cavité buccale.
Les jambes bien écartées je lui laisse le loisir de se gaver avec mes vingtaines de centimètres, je regarde des gouttes de salive couler le long de son menton. Je ferme les yeux et me laisse transporter au milieu de sa cavité que tranquillement je remplis de mon maximum. Ces gémissements deviennent râles et vu sa position je sens bien qu’après son fion se montrera dispos pour se faire bouhiave avec ferveur. Pour le moment je le laisse rouler mes burnes autour de sa langue, se gonfler de sève.
Avec sa main droite, il s’amuse à serrer au maximum ma pine histoire qu’elle le gave bien. Des larmes perlent sur ses joues à force de manger ma teub et qu’elle lui remplisse bien profondément sa gorge de petite salope. Mes mains guident ses vas et viens et insistent afin de l’entendre s’étouffer. J’aime comprendre et sentir que le keumé face à moi se régale et cherche à me donner le maximum de plaisir, pas vous ?….
rnMais sa bouche ne me suffit pas et j’ai grave envie de lui fourrer la rosette en regardant ses petites fesses de lascar bouger et rebondir sous mes coups de butoir.
Je me lève et lui donne ma place afin qu’il se cambre suffisamment pour m’offrir son trou. Placé derrière lui je débute par un doitage en règle. D’abord un doigt puis deux et désormais dilaté je peux lui enfourner ma tige gonflée. Un énorme cri déchire la nuit maintenant bien tombée, et ma pine transperce son séant d’un coup d’un seul. L’entendre râler, gémir me donner encore plus envie de l’enfourner jusqu'à la garde. Virilement et sereinement je commence à bien lui élargir la raie afin d’y voir ma teub pourfendre son petit trou qui déjà suinte de plaisir. Mes mains toutes entières, comme les serres d’un aigle, tiennent en respect ce cul guidé par mes assauts répétés.
Je violente ses fesses et les frappent de grandes claques qui font rougir sa chair et dresser le minuscule duvet qui fleurit dessus. Mes mains descendent jusqu'à trouver leur point d’attache dans le creux de ses cuisses. Ainsi tenu il m’appartient et mes dix doigts soulèvent facilement ses jambes afin de mieux l’empaler.
rnAu moment où je le sens dépassé par sa jouissance je me retire et exige d’un ton ferme qu’il me finisse avec ce qui lui sert à gémir. Il s’agenouille comme une bonne chienne soumise pour me finir. Je me contracte, mes muscles se raidissent avec ses insistants coups de langue. D’un seul geste je lui intime l’ordre de descendre en me léchant l’entrejambe et que je puisse lui lâcher mon foutre chaud sur son dos de bon soumis. Épais mon foutre ce soir. Il a du mal à couler sur son dos. Il reste dans cette position et ses gémissements me laissent penser qu’il se finit. Bingo, il se relève avec un joli sourire aux bords des lèvres. Il est heureux, Moi aussi ! -
Une heure du mat et le sommeil vient pas. J'ai la teub qui me démange et rien à me mettre sous la dent. Pas question d'aller draguer dans les rues chaudes de Paname, il fait zéro degré dehors et j'ai pas envie de me geler les couilles pour rien. Je passe un coup de fil à mon pote Momo pour qu'il me lâche sa caisse histoire d'aller roder un peu en restant au chaud dans la caisse. Trankil mon pote, j'ai juste à descendre les deux étages qui nous sépare et je me retrouve avec les clés de sa merco dans la main... en route pour l'aventure !
Il neige dehors et le vent pousse les flocons comme dans un doc sur le pole Nord. C'est pas gagné pour trouver un keum par un froid pareil. N'empêche que je voudrais bien pouvoir me faire sucer l'eskimo !
Je trace sur le périph et j'arrive au nord de Paris. Les maréchaux sont blidés de tepus qui se gèlent en attendant leurs clients. Des blacks vers Porte de Bagnolet, des meufs de l'est vers porte de Charenton, en un tour de périph t'as fait le tour du monde du cul !
C'est là que j'ai vu un p'tit lascar en train de se geler le cul en marchant le long du boulevard. Arrêté au feu rouge, je le mate droit dans les yeux. Une petite balle ce rebeu : une vingtaine d'années, survête/skets de rigueur pour les lascars en chasse et une bonne bouche bien ourlée qui me met le barreau direct. Je lui fais signe de monter et il arrive direct.
On tchatche mine de rien et Mourad m'explique qu'il voulait se taper une tepu mais qu'avec 10 euros en poche y'a pas eu moyen. C'est la galère et je lui réplique vite fait qu'on peut toujours se dépanner entre zincous. Vu le sourire qu'il me lâche, je sens que je vais pas regretter mon petit tour en caisse. Je trace en dehors de Paname et je vais poser la caisse sur un parking désert mal éclairé dans le début du 93.
On fume tranquille dans la caisse et Mourad me raconte les histoires de taspés qu'il s'est tapé avec des potes. Il me chauffe bien avec ses souvenirs et il se vante d'être un roi de la baise avec une teub hors du commun : le Rocco Sifredi du 93 !
- "Vas y Mourad, tu charies. Tu serais pas un peu mytho, toi !
- Tu me crois pas, vas y matte"
Et le keum baisse son bène direct pour me coller sous les yeux sa teub bien raide. Elle est pas mal mais on est loin des mensurations de la star du X hétéro. Je charie Mourad qui m'explique que c'est à cause du froid qu'elle fait pas plus de 19cm. Il me balance un peu vénère de mon speed sur sa face :
-"Fais le caïd, toi, t'as mieux a proposé ?
- Bien sûr que j'ai mieux ! On parie ?
- On parie quoi man ?
- T'es joueur , toi. Je te propose un "qui perd suce" ok ?
Après quelques secondes d'hésitation ou ses yeux cherchent à deviner la taille de mon zeub sous le survête, il me fais signe qu'il est ok. Je déballe tranquillement le matos et ma teub jaillit au dessus de l'élastique. Je bande à moitié et on est pour l'instant exaequo.
On se matte avec nos teubs à l'air dans la caisse et ça bande de plus en plus dur. Devine qui va gagner ? Bien en érection, on approche nos teubs l'une de l'autre et je dépasse Mourad de deux centimètres.
-"Perdu man, fallait pas jouer avec oim, au boulot maintenant !"
Le zincou est beau joueur et il se penche vers mon zeub bien raide. Sa langue chaude vient titiller mon gland circoncis et il aspire ma teub comme une vraie petite salope. Je sais pas s'il a niqué beaucoup de meufs avec ses potes de téci, mais vu la façon dont il s'y prend, il a du en pomper u paquet dans les caves de sa cité.
Il se branle en même temps et pousse des petits gémissements quand je commence à donner des petits coups de reins pour bien lui défoncer la bouche. Il malaxe mes boules avec sa main libre et la caisse résonne des bruits de suscion de la sucette d'enfer qu'il est en train de me faire. Il arrive à avaler toute ma teub et je sens son menton mal rasé qui vient taper sur mes boules.
Comme je suis pas un chien, je chope sa teub dans ma main et je le branle pendant qu'il me suce. Sa teub est chaude et son gland mouille déjà. Je suis tellement och qu'après à peine cinq minutes de pompage intensif, je sens que mes boules sont en ébullition. J'ai à peine le temps de retirer mon zeub de sa bouche qu'il crache son jus sur le tableau bord et sur ma main. Vas y il va ruiner la caisse de mon pote ce amar ! Je lui chope la tête pour la mettre au niveau de ma teub et je lui arrose le coup de sperme en râlant comme un fauve. Après ça on s'essuie vite fait et on balance nos mouchoirs en papier sur le parking. Tous les deux dans la nuit froide, on ressort nos teubs molles et poisseuses pour pisser ensemble sous la pleine lune. Alors, elle est pas belle la vie après une bonne sucette dans la caisse ! -
Bonjour je me prénomme Nicolas j'ai 26 ans et je suis enrobé.
Je suis vierge et ne connais que les plaisir solitaires.
Je recherche donc un homme pour pouvoir essayer la fellation...
Si c'est pour rigoler ou vous moquer merci de ne pas me contacter.
Au plaisir de vous lire. -
Je cherche des plans suce et sexe sur Besançon en soirée.
J'aime la pluralité et m'occuper de petites lopes vicieuses et soumises, les plans a plusieurs.
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