Trips exhibes pour voyeurs ou entre exhibes
Soumettre mon copain avec un troisième
Quel bonheur d'être en couple avec le bogosse blond Léo Helios ! Non seulement il est sexy, a une bonne bite infatigable et en plus il est gentil et déborde d'attentions pour son copain. La
preuve aujourd'hui : les garçons prennent le petit dej, ça sonne à la porte et voilà que débarque un pote à Léo que son petit copain a récemment avoué trouver excitant. Léo sait que son mec est
super passif et qu'il aime être traité au lit comme une chienne alors il lui propose de réaliser son fantasme, de faire de lui un objet sexuel qu'il va prêter à son pote. Le mec est aux anges
et se fait enculer par son amoureux tout en se gavant avec la tige de l'autre actif qui ne manquera pas d'aller le zober à son tour. Gros trouage et plaisir total avant que chacun se décharge.
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Farid lui m’observait d’un air vicieux, je comprenais facilement qu’il voulais qu’on se tape une bonne baise.
On décida ensuite de partir se balader où se trouver les champs d’oliviers, on nous préviens que des ouvriers étaient présent pour creuser un puits.
Farid me pris par l’épaule et nous nous sommes éloignés des autres zincous, il voulait me sauter seul, profiter de moi. Il savait être le boss de la situation et c’était lui le plus vieux d’entre nous.
On a réussis à trouver un coin scred mais on est au bled et c’est vrai qu’on s’est jamais mais Farid aimait le risque, ça l’exciter encore plus.
- " Kamelas, là on est bien ici, j’éspère qu’il y aura sonneper mais j’ai trop envie de te niquer la chatte, depuis qu’on est parti de la zomai, t’as envie de moi ,toi vas y dis moi ce que t’es dis moi que tu kiff ma teub " Farid me disait cela en se caressant la teub à travers son survet, il avait déjà retiré son tee shirt et son torse brillait avec le soleil qui taper mortel, il suait et j’avais envie de le lécher partout.
- " Tu sais quoi Farid, tu me fais grave kiffer, je suis ta pute, ta salope, et j’ai envie de se sentir en moi cousin, je la veux dans ma chatte de keum. ".
Après ces quelques mots sortis de ma bouche, je me mis a genoux, j’ai tâté sa queue à travers son survet histoire de la chauffer un peu, et je lui sortis sa teub pour me la fourrer dans la bouche. Je l’ai sucée à donf, j’ai d’abord bien lécher son beau gland, j’ai mis ma langue toute excitée sur le trou de son gland, ça la fait kiffer de plaisir, ensuite je lui ai pris sa queue et l’enfoncer tant que je pouvais au fond de ma gorge , je faisais des vas et viens kiffant, je l’ai pompé, aspiré sa queue, je le sucer de plus en fort.
-" Kamelas, arrête tu vas me faire gicler, tu suce grave bien, putain j’ai envie que tu devienne ma meuf Kamelas tu me fait trop kiffer, vasy suce la encore un peu, hummmmmm, viens maintenant montre moi ton cul. Oué putain, il est beau ton petit cul de meuf, je vais te le péter Kamelas, tu vas pas comprendre ta douleur, ça te chauffe hein, tu l’as veux ma teub. "
-" Putain, vas y Farid viens me sauter, baise moi comme si j’étais ta meuf. ".
On était chaud, Farid n’en pouvait plus il voulait gicler mais se retenait grave pour faire durer le plaisir.
Je me mis à 4 pattes et la terre me tuait les genoux mais j’avais trop envie de lui. Il m’écarta les seuffes avec ses mains puissantes et commença à cracher sur mon cul , il enfonça un doigt puis deux puis trois et me travailler le cul mais à dire vrai j’en avait pas besoin, je suis assez ouvert pour que sa teub rentre sans problème, je vous l’ai dis j’ai une chatte à la place du cul.
Là Farid m’a fait kiffer parcequ’il a commençais à me la lécher comme j’aime en même temps que ces doigts s’enfonçait plus fort, je sentais sa langue s’enfonçait, putain quel kiffe.
- " T’aimes ça ma petite chatte en chaleur, t’as un trop bon cul ma salope. "
- " Putain Farid, vas y c’est trop bon mais enfonce ta queue, je la veux au fond de ma chatte. "
- " T’inquiètes ma salope, je vais bien te bourrer. "
Il s’est mis à genoux, et là d’un seul trait il s’enfonce en moi, il me donnait des bons coups bien kiffant sa race, je gémissait et j’en avait plus rien à foutre si quelqu’un devait nous surprendre mais j’en avais envie depuis longtemps bien couiner mon plaisir.
-" Vasy, gueule ta race mon cousin, gueule comme une meuf, t’aimes ça les queues dans ta chatte, ouééééé, bouges les bien tes seuffes, hummmm trop bon, vas y prends ça ma salope, je te la mets au fond bien au fond de ta chatte. "
-" Vas y Farid pète le moi, défonce bien ma chatte de keum, putain Farid je vais jouir ".
-" Attends un peu ma pute,
-" J’ai envie que tu me gicle sur la face Farid, vas y jute moi sur la gueule"
Je sentis sa queue se gonfler en moi, pendant que moi je m’astiquais bien mon morceau, il s’arrêta me retourna et je sentais des litres et des litres de foutre bien och sur ma face.
-" Putain Farid c’était trop bon, j’ai gicler en même temps que toi ".
-" je bande encore ma race. Obliger tu me fais gicler là, t’en veux encore de la jute, oué tu veux encore hein. "
Il me bloqua ma tète et me redéfonça la bouche, Farid kiffait trop le cul. Je l’ai bien pompé
On s’est relevé, Farid m’as donné une bonne kecla sur les seuff et on est repartis chercher les autres, histoires de savoir ce qu’ils faisaient.. "..
Nous sommes arrivés chez grand père, puis après avoir salué toute la mifa, on a bu un thé tranquille. -
J’aperçois au loin une ombre sur le rivage qui se rapproche de moi. D’ou je suis je sais même pas si c’est un keumé ou une meuf mais je commence à fantasmer grave. La silouette se rapproche et c’est un beau petit keum qui m’est emmené par les vagues. Torse nu et imberbe, short de bain surfer, lunette de soleil en plein au milieu de la night, je suis tombé sur le roi des surfers et ça tombe bien car je me ferais bien lisser la planche si tu vois ce que je veux dire !
Je lui demande une garetci et on commence à tchatcher, posé pèpère au bord de l’eau. Il est canon le keumé et il le sait. Quand je lui explique que c’est ma dernière soirée ici, il attaque direct que j’ai même pas le temps de réagir :
-« Tu sais qu’ici la tradition veut qu’une dernière soirée à la plage se finit en bain de minuit ! »
J’ai pas le temps de dire ouf que le keum me tire par le bras et m’entraîne vers la mer en enlevant ses sapes … toutes es sapes jusqu’à finir à oilp au milieu de la nuit les pieds dans l’eau glacée. C’est un truc de ouf mais je me laisse porter par le délire et par le beau boule qu’exhibe le surfer devant mes yeux déchirés. En deux deux je balance mon caleçon et mon tee-shirt sur le sable et on se retrouve côte à côte la teub à l’air prêts pour le grand plongeon.
Putain elle est froide la Méditerranée quand le soleil est pas là pour lui chauffé les vagues. Je tremble comme une pucelle dans les vagues et le surfer me grille. Il me choppe par les épaules et me sert contre lui. Vas y il m’a pris pour une meuf ou quoi. Je le fais pivoter direct pour que son boule vienne se coller à ma teub qui s’est réveiller suite à cette étreinte humide. Le keumé capte vite et fait onduler son cul le long de ma bite en feu. Le clapotis des vagues de bord de mer balancent nos deux corps en rythme avec la Grande Bleue et mon gland monte et descend en se frottant le long de la raie lisse et tiède de l’autochtone de mes deux. Je charie n’empêche qu’ils assurent les autochtones ! Le keumé sors de son bracelet de poignet une capote et plonge la tête sous l’eau devant oim. Il déroule la capote sur ma teub en restant en apnée et en profite pour me chatouiller un peu le zboub en aquatique … ou alors je me suis fait pépom par une otarie et j’ai pas capter !
Lorsqu’il refait surface, je suis chaud bouillant de la bouyave ! Je le chope face à moi et il enroule ses jambes autour de mes hanches, alors que je suis bien planté debout les deux pieds dans le sable. L’entrée de son trou tape contre mon gland circoncis et on se laisse porter par le roulis des vagues. Tout doucement ma teub entre dans son cul, par acoups et c’est grave le kiffe, j’ai l’impression de baiser avec la Mer. Le surfer gémit comme une sirène sous le pleine lune qui éclaire notre ébat aquatique et je trique comme Poséidon ! Je suis tellement och que je chécra au bout de cinq minutes à peine avant de me laisser glisser la tête sous l’eau. Là je vois le surfer la main sur la teub qui s’astique comme un ouf avant de cracher son sperme pour nourrir les poissons !
Après ça je suis retourné récupérer ma sape et je l’ai planqué les siennes vers une dune, en le plantant à oilp comme un con sur la plage. Il aurait dur se douter que ça se finirait comme ça, on chauffe sans se méfier le killer des cailleras !
Dernière soirée sur la Côte, demain je remonte sur Paname. Ca me fout un peu les boules de quitter ce camping miteux. Je trace sur la plage histoire de faire une petite ballade d’adieu
à la Mer by night. Pieds nus sur le sable, je déambule entre les vaguelettes avec ma démarche chaloupée de scarla. -
Aujourd’hui, en sortant de la fac, j’étais à la bourre pour attraper mon bus ! Quand j’arrive au terminus, le bus commence à partir. Obligé de courir ! Le chauffeur s’arrête. J’avais jamais vu ça, un chauffeur de bus beau gosse. En général, ce sont des mecs de 55 ans avec la bedaine et tout ! On commence à parler vite fait. Il s’appelle Hamid, il a 23 ans et est d’origine maroco-tunisienne. Il est nouveau dans la profession alors je l’aide un petit peu à repérer les arrêts à chaque fois.
« Si tu veux, j’reste ici jusqu’au terminus pour te montrer les arrêts… Je lui propose (histoire de rester le maximum de temps avec lui)
- Ouais, merci ça m’arrangerais bien ça mon frère ! De toute façon je fais demi-tour après…
Il a un putain de sourire !
Arrivé au terminus, il me dit qu’il est crevé. Et moi, il commence de plus en plus à m’exciter. Il a une belle gueule, les cheveux bien coiffés avec du gel, une chemise blanche légèrement entrouverte qui lui donne un air trop sexy. On est dans le bus, dehors il fait noir, et pas beaucoup de monde dans les parages… Je lui propose un massage. Il se marre.
Voyant que je suis sérieux, il prend un air méfiant… Je commence à jouer au passif qui aime la bite. Je sais comment exciter les mâles ! Je lui dis tout ce que j’aime faire et je sais qu’il commence à être excité. Il me dit de l’attendre sur les sièges du fond. J’obéi aussitôt. Il me rejoint. Il s’assoit sur un des sièges, les jambes écartées, la chemise ouverte… Je me place entre ses jambes et lèche sa queue à travers son jean de beau gosse. Il déboutonne sa braguette, et sort sa bite encore molle mais plutôt large :
- Vas-y, suce bien et vite ! Il commence à prendre grave de l’assurance avec moi.
Je commence par donner des coups de langues sur son gland, il soupire doucement tellement qu’il kiffe ce que je lui fais. Puis, je prends petit à petit, la queue entière dans ma bouche. Elle commence à se raidir de plus en plus et à prendre de la largeur dans ma bouche. Mes lèvres effleurent la peau sa bite dure et large. J’adore cette sensation et je le fais sentir. Le gars, lui, prend son pied.
Mais au final, ce qu’il veut, c’est se soulager rapidement après une longue journée de boulot. En me prenant par la nuque, il me faire faire des vas et viens rapides mais pas trop violents. Des litres de bave dégoulinent sur sa belle bite. Quand il sent qu’il va gicler, il retire sa queue de ma bouche, se branle quelques secondes face à mon visage et plusieurs giclées de son sperme chaud et dégoulinant viennent atterrir sur ma joue et mon épaule. Rapidement il se relève et se rhabille sans trop me regarder. Mais en partant, il ma jeté un sourire qui voulait dire « faut qu’on se refasse ça ! »…
YASSINE ET LE CHAUFFEUR DE BUS -
J'accepte qu'on me touche, me tripote, qu'on me frotte son sexe sur mes fesses, ma raie avant éventuellement d'être pris par derrière pour la première fois.
Non vénal
J'adore me montrer tout nu en forêt, parc, parking, cave etc.....
Mar 14 mar 2017
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