Trips exhibes pour voyeurs ou entre exhibes
La grosse traite de la bite coupée
Journée inoubliable pour le fermier américain : il a reçu la visite d'un très bel arabe, viril et sexy. Le mec était cool, il lui a proposé de lui faire visiter son domaine et les voici au
milieu du foin, prêts à passer à l'action. Cela fait des semaines qu'il n'a pas pu mettre sa bite dans une fente. Alors quand il voit la bouche qui bave du fermier gay, il se fait plaisir
d'aller y mettre sa queue. Le gars est un super pompeur, qui ne se consacre qu'au plaisir du mâle dominant, à genoux, en se branlant. Ca l'excite tellement de sucer un si beau gars qu'il donne
tout ce qu'il a et qu'il va pas pouvoir retenir sa sauce bien longtemps.
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Je suis novice mais très motivé et mon annonce est sérieuse.
Plaisantin s'abstenir
J'ai déjà pratiqué une fois
Homme 41 ans grand châtain non efféminé cherche un Étudiant gay de préférence aimant se faire sucer sans rien de plus - Brj je suis bi et je cherche expérience bi avec homme bien membré, sur sarreguemines
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Je la regarde et me dis que la soirée promet d’être intéressante et jouissive. On embarque pour " le torpédo ", à cinq centre mètres de la caserne. Une grande surface à drague. Les mecs sont tous sur leur trente et un et pavanent comme des paons devant des filles qui se pâment d’un plaisir tout calculé ou pour certaines empreintes d’une naïveté de pucelle.
Le ballet me fais délirer. Je suis comme un aigle qui scrute et attend sagement son tour ou la proie idéalement goûteuse. Il ne tarda pas à se montrer en dansant devant le regard de mon amie et le mien sur Music de Madonna. Mon amie paraissait enthousiaste à l’idée de partager ce joli gibier. Nous sommes allés sur la piste de danse pour approcher au plus près ce jeune danseur au yeux coquins.
Audrey s’est rapproché de lui se laissant presque sans gêne effleuré. Elle se retournait et le regardait droit dans les yeux rendant avec les lumières son regard presque hypnotique. Je me rapproche aussitôt pour me retrouver derrière lui et mater " ses références ".
Beau cul qui mange la couture central du jeans et promet des enfournements dignes d’un boulanger. En parlant avec Audrey il accepte de sortir de la boite pour aller sur le parking. Elle me fais signe de me joindre à eux. Après s’être brièvement présenté nous sommes allés dans la voiture pour nous mettre à l’aise. Les dossiers baissés nous avons commencés doucement comme avec pudeur, par nous caresser. Ses caresses allaient aussi bien à Audrey qu’a moi.
Il dégrafait la robe pendant que je commençais à mettre ma langue sur la chatte d’Audrey. Je la trouvais tellement en beauté ce soir, que je ne me voyais pas l’honorer en seconde. Je m’appliquais à être le plus doux possible, la sachant friande de tendresse. Notre hote pendant ce temps-là commençait à me toucher le paquet.
J’enlevais mon pantalon et laissais sortir ma pine. Il fit de même et révéla une pine monstrueuse. Audrey s’est rué dessus et à commencer à lui faire le gland pendant que je m’occupais des couilles bien chargées.
Prise d’initiative subite, Audrey leva complètement sa route et s’empala sans crier gare sur ce pieu. Je matais les couilles rebondir contre sa vulve, je lui écartais les jambes pour mieux mater ce spectacle pendant que je me branlais.
Lui n’a pas supporté longtemps les va et viens et c’est rapidement qu’il cracha dans la capote, à l’intérieur d’Audrey. Je m’arrêtais aussi net pour ne pas jouir. Audrey se releva et commença une toilette digne d’une jolie chatte pour ressortir comme neuve de la voiture.
Le bidasse déçut d’avoir libéré si vite ses envies s’excuse.
-Nous ne restons pas sur une rencontre désagréable, juste un peu courte. Lui répondis je. J’ai rejoint Audrey qui nous avait devancé sur la piste et nous sommes repartis à la chasse.
Je me fringue tranquille genre bogosse un peu frimeur (Eden park en force !) et prends la voiture pour aller chercher une copine qui accepte de devenir l’espace d’une soirée un parfait
et crédible alibi. Elle est en forme et resplendit dans sa robe qui ressemble plus à une nuisette. Maquillée juste ce qu’il faut elle dégage un sex appeal d’enfer. -
Un pur bon plan qu’il a chopé par un keumé qu’il nique de temps en temps et qui craque sur lui. Comme il est plein aux as, Monsieur a un jolie appartement à la montagne et s’est proposé de laisser les clés à mon pote. En deux deux je prépare mon sac de sport avec tout ce que j’ai de plus chaud à enfiler … en espérant trouver encore plus chaud sur place !
On se retrouve à la gare avec Narguilé avec l’intention de prendre un train en scred, sans billet pour retrouver les pentes enneigées qui vont nous changer de l’air de la capitale. Narguilé a une bonne technique : on chope un train de nuit avec couchettes et y’a plus qu’à repérer un keumé docile pour squatter dans son compartiment. La chance est avec nous car on repère vite fait un petit couple de pd tout chauds d’aller faire les beaux sur les pistes. On déboule dans leur compartiment et on leur pose le deal cash : il nous planque là en cas de contrôle et en échange, on leur promets de bien s’occuper d’eux. Les deux minets n’hésitent pas une seconde et je sens que le début de ses vacances hivernales vont être placées sous le signe de la baise.
Il sont plutôt bien foutu les deux p’tits pd : un blond et un brun, y’a pas de blèm on va les niquer tout shuss ! Bien assis sur une couchette à côté de mon pote, les deux keums se collent à genoux et commencent à nous pomper le zob. Le ballottement du train accompagne leurs mouvements de bouche et on est tous les deux graves chauds : c’est carrément le Pic du midi qui se dresse sous nos survêts ! Alors que je prends le temps de kiffer la bouche experte du petit blond qui s’occupe de oim, Narguilé a déjà viré le fute du brun et le pose à quatre pattes sur la couchette. Il lui mollarde dans le fion et lui écarte les seufés pour lui coller deux doigts. Le keum commence à gémir pendant que son pote mate le spectacle en douce en se tirant sur la nouille comme un ouf.
Narguilé enfile une capote et commence à doser le keum qui se met à gueuler comme une chienne. Putain il va ameuter toute la rame s’il continue à brailler comme ça. Deux minutes plus tard, un contrôleur frappe à la porte et entre dans notre compartiment. Il butte sur le suceur qui s’occupe de moi et tombe sur la banquette qui nous fait face. Narguilé le boule à l’air en train de niquer, moi, la teub bien raide avec ma suceuse au bout, le contrôleur en croit pas ses yeux. Un petit sourire de vice s’affiche sur sa face et sans rien dire, il matte et commence à se palper la teub à travers le fute de son uniforme. Apparemment, il a envie de se faire payer son amende en nature. Il a un putain de zeb pour un céfran, plus de vingt centimètres hyper large et il s’astique tranquillement en palpant le cul du blondinet qui continue à baver sur mon zboub.
Je lui tends une capote avec un sourire, histoire qu’il se lâche et qu’après il nous lâche les couilles avec son contrôle. Le contrôleur se fait pas prier et déroule le préso sur sa big teub pour aller se caler dans le boule de ma lopsa. Ca baise à tout va dans la couchette. Narguilé a retourné le petit brun sur le dos et lui pilonne le fion à grands coups de reins. Le contrôleur y va franco et ne s’occupe guère des râles étouffés du blond sur ma teub. C’est le compartiment du vice ici ! Soudain, j’entends mon pote poussé un cri que je connais bien, le rebeu vient de chécra à donf et il se retire du trou de la petite pédale qui en réclame encore. Vite fait j’enfile une capote et je vais prendre sa place pendant que Narguilé va se faire nettoyer sa teub pleine de foutre par le blondinet qui n’est pas encore rassasier.
Je lime comme un malade et je kiffe grave de suivre les sursauts des rails pour bien enfoncer ma teub au fond du trou de lopsa qui m’est offert. Le contrôleur commence à transpirer comme un bœuf et il sort sa queue pour se finir à la main et cracher son sperme sur le cul du blond en grognant comme un ours. Il ne manque plus que moi pour le bouquet final et j’accélère le mouvement dans le boule de mon skieur. En deux deux je sens la pression qui monte et je suis tellement chaud que j’ai même pas le temps de me retirer pour chécra. J’envois tout direct au fond de ma capote dans le boule de ma lopsa.
rnAutant vous dire qu’après ce contrôle poussé, le keumé en uniforme n’a pas cherché à vérifier nos billets. Après tout, il a déjà pas mal poinconné le blondinet, c’est pas la peine d’en rajouter. Après ça on s’est endormi tranquillement avec Narguilé en laissant les deux lopsas s’excitées sur le plan trop chaud qu’elles venaient de se faire. Sympa ces vacances à la neige, on est encore pas arrivé qu’on s’est déjà bien chauffé les bâtons de ski !
Marre de Panam, il fait trop froid cet hiver. J’ai rien contre les températures en dessous de zéro mais sous réserve qu’il y ait de la neige, des montagnes et des sapins et à paris,
c’est pas ça. Du coup, quand mon pote Narguilé m’a proposé de partir une semaine aux Deux Alpes, j’ai signé tout de suite. -
49 ans, Européen, entretenu, bi, chatain, pas mal, discret, très doué en pipe complète.
Je suis disponible facilement en journée et en semaine.
À te lire.
Je cherche un amant régulier a sucer nature régulièrement, âge indifférent. -
Cinq mois avaient passés depuis mon match catastrophique face à l'équipe d'Hamid. Cinq mois durant lesquels mon entraineur m'avait préparé à prendre ma revanche après l'échec de la rencontre précédente. Même s'il ne connaissait pas les raisons réelles qui m'avaient conduit à déjouer Et me voilà dans une situation bien délicate : à l'entrée du vestiaire adverse, voilà Hamid qui scrute notre porte. Je le vois de loin mais je comprends pourquoi il attend : il veut que je le vide avant le match. Et l'idée m'excite. Je ne sais pas comment résister. J'espère seulement qu'il ne me verra pas passer Cet espoir n'aura pas eu le temps de prendre vraiment forme dans mon esprit qu'Hamid me fait signe de venir le voir. J'avance "Wesh mec. Ça te dit qu'on se parle vite fait dans le vestiaire ? - Les autres vont trouver ça louche.. - Toute façon t'as pas le choix. Viens, amène-toi." Il m'attrape le bras et me conduit dans son vestiaire, où tous les joueurs sont aussi en train de se changer "Voilà les gars : je vous l'avais promis, et ma pute est là. Et elle va non seulement me les vider, puis en remerciement elle va me laisser marquer quelques buts !"rnTous se mirent à rire. Et moi d'angoisser : mon penchant gay devait être tenu secret, surtout dans le monde du football et pour mes coéquipiers. Avec tous les ragots qui circulent, celui de mon homosexualité allait vite faire le tour du championnat "Oh, tu penses à quoi ? Mets-toi à genoux et pompe putain !" Joignant le geste à la parole, il me fout à terre et me colle sa queue déjà bandée en bouche. Sans attendre, il me lime littéralement les lèvres que je serre fort "Hugo si tu veux essayer son cul, il adore ça !"rnWaouh ! Le plus beau céfran de l'équipe allait s'ajouter à Hamid dans un trio d'enfer. Je sens déjà sa queue frotter contre ma chatte. Un bruit de préservatif. Une coulée de gel. Et le voici me déchirant les entrailles avec fougue et bestialité. C'est intense. J'ai envie de crier, de hurler. De plaisir, aucunement de douleur. Mais la queue d'Hamid me bloque et m'étouffe à chaque coup de rein que donne Hugo. Le gland tape le fond de ma gorge, mes yeux pleurent. J'ai totalement perdu le contrôle de la situation et de moi-même Rapidement, ce sont tous les gars de l'équipe qui se sont regroupés autour de nous et nous matent. L'un d'eux fini par dire : "On peut en profiter aussi ? - Wé Samir. D'où tu me poses la question : la pute est à toute l'équipe ! Attends qu'une place se libère et faites-vous tous le kiff" Hugo se retire et laisse sa place à Hamid. Sa queue est encore plus grosse mais moins longue. Il me déchire donc encore un peu plus. Hugo vient se finir sur mon visage "Ah la salope trop bonne tes lèvres ! Prends ça ! Tends ta langue putain !" Et il m'étala son jus sur les joues avec sa queue, comme un masque de beauté : "Voilà pour ta crème de jour chérie, conclut-il en riant."rnUn autre prit sa place face à mes lèvres. Samir, à ce qui me semble. Son grand plaisir, c'est de me gifler avec sa teub, puis de mettre son gland entre mes lèvres, me donner envie de la prendre à fond puis de la ressortir pour me gifler encore... Sauf que je meurs d'envie de le pomper pendant qu'Hamid se défoule encore et encore sur ma rondelle "Tu la veux salope ! Dis-le que tu la veux !! Exigeât-il d'un ton menaçant - Oui, je veux ta grosse queue au fond de ma gorge.. - Beh cousin tu vas attendre. Bave bien. Sale pute. T'es vraiment un garage à bite... Je suis sûr que tu devais rêver de te faire niquer par les mecs de notre équipe ! Surtout les rebeus !" Ces mots ont fini d'exciter Hamid, qui a encore intensifié ses coups de rein. Je le pensais pourtant déjà à son maximum. Et le voilà qui hurle de plaisir et je sens sa queue se contracter. Sans perdre un instant, Samir enfonce enfin sa teub tout au fond de la gorge. Cela ne dure que deux ou trois secondes, car il se retire et part attendre la place laissée libre par Hamid à l'arrière. J'ai le cul en feu, dans tous les sens du terme. Et j'en veux encore, et encore !rnHugo se place entre mes jambes et s'enfonce d'un seul trait jusqu'à la garde : ma chatte est élargie mieux que le tunnel du Mont Blanc, ça passe tout seul. Mais je serre encore un peu ma rondelle pour bien serrer sa queue "Les mecs, cette lope en veut encore : il serre les fesses pour me chauffer. Putain tu vas voir ce que tu vas prendre !"rnLes autres gars, qui se branlaient depuis un moment en matant, vinrent tous se finir sur mon visage après n'avoir résisté qu'à quelques coups de langues de ma part, bien placés sur leur frein. Samir déchargeât son foutre sur mes fesses après avoir retiré sa capote. Et je n'avais toujours pas juté, car ils m'avaient empêché de me toucher. C'est alors qu'Hamid revint vers moi, en tenant mon maillot de foot : "Regarde si je suis pas gentil mec : j'essuie moi-même le foutre de mes potes - Non mais je vais faire comment, moi ? - Rien à foutre de tes problèmes. Déjà tu vas pas faire chier pendant le match, et après le reste c'est ton souci, pigé ?"rnPuis se retournant vers ses potes :rn"Faites comme moi : finissez de vous vider !" Toujours à quatre pattes, je sentis plusieurs jets d'urines s'écraser sur mon dos. Et des rires. Puis ils sont partis à l'échauffement, me laissant là avec un maillot plein de foutre, l'honneur en friche et les couilles pleines. Mais, waouh, j'avais jamais autant kiffé un plan !
Terre 2 plaisir - je cherche des mecs a pomper a fond je recoi chez moi pour etre a l'aise le temp d'une bonne fellation nature
- jeune homme bien monter suceur de queue je me déplace chez vous ou en voiture et on fai sa
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J'adore le sentiment de domination, insultes sales et autre bienvenues, contactez-moi vite ! ;)
Jh bi, très envie de sucer un bon gros pénis bien dur sur Strasbourg, je suis une vraie salope, je veux que vous me la fassiez bien gouter ;) si bon feeling, je vous autoriserai à me
traiter comme un vrai soumis en me la mettant au cul... - Bonsoir je suce sur aire de mionnay voir plus
Jeu 16 mar 2017
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